Après quelques années à Taïwan, l'idée et l'expérience que l'on peut en tirer, seront bien celle de la débrouille. Ce n'est pas en fonction de son bagage universitaire que l'on pourra trouver une voie de salut, de rémunération, et de stabilité, il aura fallut essayer, faire ses réussites et ses ratés, et apprendre sur ces expériences.
On se débrouille avec son bagage relationnel, ou si on ne l'a pas acquis, il faudra alors encore jouer de la débrouille pour se lier aux autres, et les ruses locales sont nombreuses et exquisent à découvrir chez nos confreres Taïwanais, surtout quand on est un simple instrument d'un jeu dont on cache les règles.
Om devient plus incisif, plus observateur, et on découvre enfin les faiblesses, ou les forces des uns et des autres, on y construit sa tribu, ses alliés et parfois en contresens avec d'autres intérêts tribaux. On est bien au 21 eme siècle, mais dans la culture insulaire de Taïwan.
Car si On se débrouille donc avec ce que l`on a en poche, comme un bon étudiant en mode survie, avec quelques sous, avec quelques millions, ce sera encore de la débrouille. À jouer à ce jeu, on arrive à gagner plus, beaucoup plus... ou beaucoup moins, ça arrive.
Car si Taïwan garde sa face, derrière les institutions locales, privées ou publiques, tout reste bricolage et débrouille, car la bureaucratie, on s`assied dessus. Universités, Banques, gouvernement, ...ce sont encore les lieux de la débrouille, ou l'on bricole avec ce que lòn a sous la main, ou dans la main.
Pour les plus grands, les seniors, allez donc voir ce qu'ils ont dans les mains, et ce quìl n'ont pas...et ne veulent pas: Professeur ou administrateur d'entreprise, responsables d'institutions ...
Avant tout , un réseau dinfluence, et une image de respect,...et ce qu'ils ne veulent pas: de la paperasserie, et être esclave d'un système. Des étudiants de bonne volonté, des employés corvéables à merci, ...en fonction de ce que l'on a, il faut bidouiller, se débrouiller dans la dynamique sociale.
Comme on est tous un peu différents, la débrouille consiste à créer son système organique, où tout le monde a sa place et s'entraide, dans une "proximité organique"...en gardant le respect et la proximité du patriarche qui préside le clan.
Plongé dans cette culture de la débrouille, on découvre ces défilés, ....il faut bien apprendre à regarder l`envers de ces décors. Les seniors y voient mieux que vous et êtes plus malin à ce jeu. Ils se faufilent dans les gros projets, se retrouvent dans les jupons de décideurs...a scruté l'horizon de projets futurs. Mais devenir plus agile que les grands...pas si évident.
Les outils de la débrouille, ils sont en vous, et parmi nous: Vos yeux, vos oreilles...vos amis, ou simple relation de passage, ...tous dois fonctionner, se recycler...et souvent sans règle du jeu, bien que les lois existent, ce sont trop d'encre, et de manuscrits, de formulaires, qui compliquent la vie des décideurs locaux.
Donc, ne nous arrêtons pas aux règles et aux systèmes établis: Le bigleux, le sourd-muet, l'aveugle ou le mendiant..., les jeunes comme les vieux, ils sont utiles et se sentiront utiles, et à la première rencontre, il deviendra un outil de valorisation.
Finalement, qu'on soit tous un peu différents, ce sera toujours enrichissant!
On se débrouille avec son bagage relationnel, ou si on ne l'a pas acquis, il faudra alors encore jouer de la débrouille pour se lier aux autres, et les ruses locales sont nombreuses et exquisent à découvrir chez nos confreres Taïwanais, surtout quand on est un simple instrument d'un jeu dont on cache les règles.
Om devient plus incisif, plus observateur, et on découvre enfin les faiblesses, ou les forces des uns et des autres, on y construit sa tribu, ses alliés et parfois en contresens avec d'autres intérêts tribaux. On est bien au 21 eme siècle, mais dans la culture insulaire de Taïwan.
Car si On se débrouille donc avec ce que l`on a en poche, comme un bon étudiant en mode survie, avec quelques sous, avec quelques millions, ce sera encore de la débrouille. À jouer à ce jeu, on arrive à gagner plus, beaucoup plus... ou beaucoup moins, ça arrive.
Car si Taïwan garde sa face, derrière les institutions locales, privées ou publiques, tout reste bricolage et débrouille, car la bureaucratie, on s`assied dessus. Universités, Banques, gouvernement, ...ce sont encore les lieux de la débrouille, ou l'on bricole avec ce que lòn a sous la main, ou dans la main.
Pour les plus grands, les seniors, allez donc voir ce qu'ils ont dans les mains, et ce quìl n'ont pas...et ne veulent pas: Professeur ou administrateur d'entreprise, responsables d'institutions ...
Avant tout , un réseau dinfluence, et une image de respect,...et ce qu'ils ne veulent pas: de la paperasserie, et être esclave d'un système. Des étudiants de bonne volonté, des employés corvéables à merci, ...en fonction de ce que l'on a, il faut bidouiller, se débrouiller dans la dynamique sociale.
Comme on est tous un peu différents, la débrouille consiste à créer son système organique, où tout le monde a sa place et s'entraide, dans une "proximité organique"...en gardant le respect et la proximité du patriarche qui préside le clan.
Plongé dans cette culture de la débrouille, on découvre ces défilés, ....il faut bien apprendre à regarder l`envers de ces décors. Les seniors y voient mieux que vous et êtes plus malin à ce jeu. Ils se faufilent dans les gros projets, se retrouvent dans les jupons de décideurs...a scruté l'horizon de projets futurs. Mais devenir plus agile que les grands...pas si évident.
Les outils de la débrouille, ils sont en vous, et parmi nous: Vos yeux, vos oreilles...vos amis, ou simple relation de passage, ...tous dois fonctionner, se recycler...et souvent sans règle du jeu, bien que les lois existent, ce sont trop d'encre, et de manuscrits, de formulaires, qui compliquent la vie des décideurs locaux.
Donc, ne nous arrêtons pas aux règles et aux systèmes établis: Le bigleux, le sourd-muet, l'aveugle ou le mendiant..., les jeunes comme les vieux, ils sont utiles et se sentiront utiles, et à la première rencontre, il deviendra un outil de valorisation.
Finalement, qu'on soit tous un peu différents, ce sera toujours enrichissant!
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