Texte: Francois Bellet-Odent
Taïwan est une plaque tournante pour de nombreux trafics: Humains, organes, finance, alimentaire, armes... Une plaque tournante dynamique qui existe pour bien des raisons, peut-être grâce à l'opacité sur l'activité réelle de multiples ONG ou autres petites institutions ou organisations à buts non lucratifs, mais peut être aussi parce que n'étant pas un pays reconnu, reste impermeable à toute vérification internationale (ce dernier sujet étant complexe, je ne m'étendrais pas dessus). Ces mystères qui y résident, font le bonheur des donateurs, et de leur comptabilité...comme aussi la facilite à en ouvrir, quand on a les bonnes relations et à en fermer une les opérations terminées.
Camaraderie associative:
peut-être aussi que la tolérance du gouvernement dans les régimes punitifs des entreprises et autres organisations, dans le cas où elles enfreignent les lois involontairement, favoriserait le modèle associatif. En effet, l'absence d'un dirigeant, sinon d'un pasteur ou d'un prêtre pour une église, favorise les initiatives et les abus...involontaires. Et il est difficile de condamner quelqu`un pour une erreur celui ou celle qui fait des dons et offre son temps comme volontaire. La macro environnement d'une association ("macro-social environnement" en Anglais) offre un confort amical et familial qui tend à favoriser une complicité dans les contrats, des fidélités, etc.
Cependant, quand le gouvernement s`affole, ils vont utiliser les médias pour tirer les sonnettes d'alarmes. On annonce parfois des abus dans les écoles et les universités, ou au sein des hôpitaux, mais la culture Chinoise gèrent ses vrais problèmes de manière indirecte, et les événements médiatisés ne sont que de la communication préventive.
L'avenir des institutions:
les institutions religieuses protestantes ont fleuri et se sont développées a vive allure, parallèlement au développement industriel de Taïwan. Elles jouissent de la flexibilité sociale, et non politique, pour le développement de réseaux et permets de créer une dynamique de dons, en échange d'une aide fiscale. et cette fiscalité peut apporter de multiples avantages: les niches fiscales se développent par des retours de services, ou matériel, ou cadeaux. Formations, sponsor pour Visa religieux, conférences sponsorisées études sponsorisées, logements accordés, sponsors pour études.
Elle apporte...encore...mais une fois ce mécanisme de don et de-fiscalisation enrayés ces structures garderont elles leurs motivations socio fiscale, et leurs équipes "intéressé" par ces échange donnant-donnant y trouveront-ils encore des intérêts?
Institutions neutres:
Les institutions catholiques sont plus opaques, car les questions d`argent sont tabous. L`humanisme, l`altruisme a une place importante. les volontés, initiatives et projets émergent du coeur des uns et des autres.....mais les projets sont peut êtres moins important en nombres. Effectivement, moins ouvert a ces questions de profits, et cherchant a promouvoir les valeurs judeo-chretiennes, nobles et authentiques, (ou l`argent est sale) ces institutions et projets se sont moins développés, mais sont surement moins concernées par ces mécaniques financières avantageuses (bien qu`elle doivent y faire face!)
Camaraderie:
dans ce contexte local où le contrôle n'existe pas, on trouve facilement de toutes sortes de camaraderie, ou l'entraide ne se limite pas a un repas gratuit.
Cette période de crise remet en question ces organisations: moins de don, aucun don, ou dons douteux...qui sont le reflet de la situation d'individus ou de familles qui épargnent, ou d'entreprises qui périclitent, restent les dons de celle qui essaye de sauver les profits restants, bien sur en évitant la fiscalité locale, même peu importante.
Les acteurs:
les acteurs de ces organisations sont bien contents de trouver un lieu de mission, et un lieu de gestion de patrimoine et les riches entrepreneurs bien contents de justifier l'utilisation des lieux a des fins "humaines". Comme une coquille vide, elle trouve des occupants qui vont faire fonctionner le système: NPO (non profit Organisation) ou ONG.
Pas uniquement religieux:
ces institutions ne sont pas uniquement "religieuses", elles sont des associations de médecins qui investissent dans des projets culturels, voire diététique, d'aides psychiatriques, des associations d'environnements, des hôpitaux, des musées, ou fondations d'art... Elles peuvent être très honnêtes comme être détournées habilement de leurs fonctions. Ces services qui restent ouverts à tous, à moins d'êtres sponsorisés par l'État, sont très sélectifs donc réduit les risques de fortes affluences du public qui en a réellement... besoin. Il suffit de les tester...en on arrive souvent à m'essouffler avec des réponses comme: ce n'est pas pour vous, c'est réservé à, ou...sur invitation seulement, ...etc.
Le social en déroute:
le climat très sélectif poursuit sa route a Taïwan, et le service social est à la traine. On pense Social, on prêche social, mais dans l'action, il n'y a plus personne. Il semblerait que cette tendance ne règne pas seulement à Taïwan!
Taïwan est une plaque tournante pour de nombreux trafics: Humains, organes, finance, alimentaire, armes... Une plaque tournante dynamique qui existe pour bien des raisons, peut-être grâce à l'opacité sur l'activité réelle de multiples ONG ou autres petites institutions ou organisations à buts non lucratifs, mais peut être aussi parce que n'étant pas un pays reconnu, reste impermeable à toute vérification internationale (ce dernier sujet étant complexe, je ne m'étendrais pas dessus). Ces mystères qui y résident, font le bonheur des donateurs, et de leur comptabilité...comme aussi la facilite à en ouvrir, quand on a les bonnes relations et à en fermer une les opérations terminées.
Camaraderie associative:
peut-être aussi que la tolérance du gouvernement dans les régimes punitifs des entreprises et autres organisations, dans le cas où elles enfreignent les lois involontairement, favoriserait le modèle associatif. En effet, l'absence d'un dirigeant, sinon d'un pasteur ou d'un prêtre pour une église, favorise les initiatives et les abus...involontaires. Et il est difficile de condamner quelqu`un pour une erreur celui ou celle qui fait des dons et offre son temps comme volontaire. La macro environnement d'une association ("macro-social environnement" en Anglais) offre un confort amical et familial qui tend à favoriser une complicité dans les contrats, des fidélités, etc.
Cependant, quand le gouvernement s`affole, ils vont utiliser les médias pour tirer les sonnettes d'alarmes. On annonce parfois des abus dans les écoles et les universités, ou au sein des hôpitaux, mais la culture Chinoise gèrent ses vrais problèmes de manière indirecte, et les événements médiatisés ne sont que de la communication préventive.
L'avenir des institutions:
les institutions religieuses protestantes ont fleuri et se sont développées a vive allure, parallèlement au développement industriel de Taïwan. Elles jouissent de la flexibilité sociale, et non politique, pour le développement de réseaux et permets de créer une dynamique de dons, en échange d'une aide fiscale. et cette fiscalité peut apporter de multiples avantages: les niches fiscales se développent par des retours de services, ou matériel, ou cadeaux. Formations, sponsor pour Visa religieux, conférences sponsorisées études sponsorisées, logements accordés, sponsors pour études.
Elle apporte...encore...mais une fois ce mécanisme de don et de-fiscalisation enrayés ces structures garderont elles leurs motivations socio fiscale, et leurs équipes "intéressé" par ces échange donnant-donnant y trouveront-ils encore des intérêts?
Institutions neutres:
Les institutions catholiques sont plus opaques, car les questions d`argent sont tabous. L`humanisme, l`altruisme a une place importante. les volontés, initiatives et projets émergent du coeur des uns et des autres.....mais les projets sont peut êtres moins important en nombres. Effectivement, moins ouvert a ces questions de profits, et cherchant a promouvoir les valeurs judeo-chretiennes, nobles et authentiques, (ou l`argent est sale) ces institutions et projets se sont moins développés, mais sont surement moins concernées par ces mécaniques financières avantageuses (bien qu`elle doivent y faire face!)
Camaraderie:
dans ce contexte local où le contrôle n'existe pas, on trouve facilement de toutes sortes de camaraderie, ou l'entraide ne se limite pas a un repas gratuit.
Cette période de crise remet en question ces organisations: moins de don, aucun don, ou dons douteux...qui sont le reflet de la situation d'individus ou de familles qui épargnent, ou d'entreprises qui périclitent, restent les dons de celle qui essaye de sauver les profits restants, bien sur en évitant la fiscalité locale, même peu importante.
Les acteurs:
les acteurs de ces organisations sont bien contents de trouver un lieu de mission, et un lieu de gestion de patrimoine et les riches entrepreneurs bien contents de justifier l'utilisation des lieux a des fins "humaines". Comme une coquille vide, elle trouve des occupants qui vont faire fonctionner le système: NPO (non profit Organisation) ou ONG.
Pas uniquement religieux:
ces institutions ne sont pas uniquement "religieuses", elles sont des associations de médecins qui investissent dans des projets culturels, voire diététique, d'aides psychiatriques, des associations d'environnements, des hôpitaux, des musées, ou fondations d'art... Elles peuvent être très honnêtes comme être détournées habilement de leurs fonctions. Ces services qui restent ouverts à tous, à moins d'êtres sponsorisés par l'État, sont très sélectifs donc réduit les risques de fortes affluences du public qui en a réellement... besoin. Il suffit de les tester...en on arrive souvent à m'essouffler avec des réponses comme: ce n'est pas pour vous, c'est réservé à, ou...sur invitation seulement, ...etc.
Le social en déroute:
le climat très sélectif poursuit sa route a Taïwan, et le service social est à la traine. On pense Social, on prêche social, mais dans l'action, il n'y a plus personne. Il semblerait que cette tendance ne règne pas seulement à Taïwan!
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