Industrie Taïwanaise en Temps de crise

Francois Bellet-Odent " Gerer l`économie autrement"

Francois Bellet-Odent s`exprime sur le climat de l`"industrie a Taiwan" qui est....bien morose.
La crise en chine, a Taiwan ou ailleurs, se résume a casser les dépenses, maintenir un niveau de service suffisant pour satisfaire sa clientèle, rester agressif dans une compétition acharnée, rassurer ses investisseurs, renégocier avec les emprunts avec les banques, rassurer ses employés sur les risques; chercher des alternatives pour payer ses charges, anticiper la dévaluation monétaire et les conséquences multiples.
Bellet-Odent entend ce refrain bien actuel de la situation global de crise du crédit que nous connaissons tous; celle qui paralyse ou élimine les acteurs de l industrie qui ne fonctionnent que sur un modèle économique mondial;
Les entrepreneurs Taiwanais ont plus d`un tour dans leur sac et cherchent toujours les astuces de dernières minutes pour décrocher l`accord d`une banque, pour obtenir un prêt. Ils font preuve d`une grande inventivité dans ce domaine, mais seul les CFO qui ont conscience de leur responsabilité, changent de crèmerie suite aux exces créatif de leur direction.
Ensuite, Les banques Taiwanaise au management familiale, ont deja renvoyé les vieux responsables "dur a cuir" sur le continent. Donc, négocier avec des petits jeunes, est un jeu d`enfant pour les mastodontes industriels et le gouvernement de Taiwan.
Pour ce qui est des rapports financiers destines aux investisseurs étrangers, les notations d`entreprises.....pas de commentaires.....aussi un jeu d`enfant, pas de crise du crédit a Taiwan donc!


Autour de nous, les Français qui survivent a cette crise du crédit ont chaud; même si parfois la chance d être la depuis bien longtemps et d avoir leur réseau qui aide, ce n est pas facile; les profs de Français qui enseignent, c est une solution. mais les spécialistes de l industrie qui ont pu trouver une place dans leur domaine dégustent ce climat actuel qui n arrange rien a l ambiance interne: Rester tardivement sur le lieu de son travail; assister aux réunions sans fin; rentrer chez soi après une heure de route; voir ses enfants dormir a son retour; et se désoler qu un jour; ses enfants n auront que seul choix d être employé dans une culture qui est immobile; ou cette culture qui n avance que par le flux économique de l ouest; ou par des pressions du continent Chinois, a moins de quitter Taiwan comme un bon nombre de talentueux personnages.

Ces réflexions sont bien sur celle de Francois Bellet-Odent et cherchent a refléter le quotidien de Français ou d'autres étranger a Taiwan.